Des mots, toujours des mots et encore des mots
Des paroles insensées; toujours les mêmes, et encore une fois
Lis, moi, hais moi, déteste moi !
Je n’en ai cure
Je ne suis pas mieux, je me répète tel un perroquet
Balançant des mots vides de sens pour la personne en face
Pour qui ais-je jamais compté ?
Pour qui ais-je jamais été aimé ?
Des paroles chantait Dalila
J’écris un requiem, pour mon quota d’amour
Tout ça n’a pas d’importance finalement
Je, n’est pas Nous et ne le sera jamais
Mes condoléances à l’amour…
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