Terres dévastées

Mois : septembre 2008

Sans titre

Amertume,
Ce soir je sens l’écume péristaltique me monter aux lèvres
Il ne s’en faut peu que le dégout me submerge,
Mais je ravale en silence mes larmes de douleur
Transformer le monde sera à  ma portée
Mais transformer mon esprit est au delà  de mes capacités.
Sache vieil arbre que je te hais, toi et ce que tu représentes,
Des racines plongées dans mon coeur,
A ta cime plongeant dans l’iréel du monde.
Fais donc que je déçoive encore une fois
Mon ego sous-dimensionné
L’involution n’est qu’un prétexte, un fantasme
Et la sociabilité un concept haïssable.
Partons ensemble dans une monade
Telle que le rasoir d’occam soit vrai.

Hotel california

On a dark desert highway, cool wind in my hair
Warm smell of colitas rising up through the air
Up ahead in the distance, I saw a shimmering light
My head grew heavy, and my sight grew dimmer
I had to stop for the night
There she stood in the doorway;
I heard the mission bell
And I was thinking to myself,
‘This could be Heaven or this could be Hell’
Then she lit up a candle and she showed me the way
There were voices down the corridor, I thought I heard them say…

Welcome to the Hotel California
Such a lovely place (such a lovely flace)
Plenty of room at the Hotel California
Any time of year, you can find it here

Her mind is Tiffany-twisted, She got the Mercedes Benz
She’s got a lot of pretty, pretty boys, that she calls friends
How they dance in the courtyard, sweet summer sweat.
Some dance to remember, some dance to forget
So I called up the Captain, ‘Please bring me my wine’
He said, ‘We haven’t had that spirit here since 1969’
And still those voices are calling from far away
Wake you up in the middle of the night
Just to hear them say…

Welcome to the Hotel California
Such a lovely Place (such a lovely face)
They livin’ it up at the Hotel California
What a nice surprise, bring your alibis

Mirrors on the ceiling, the pink champagne on ice
And she said ‘We are all just prisoners here, of our own device’
And in the master’s chambers, they gathered for the feast
They stab it with their steely knives, but they just can’t kill the beast
Last thing I remember, I was running for the door
I had to find the passage back to the place I was before
‘Relax’ said the nightman, We are programed to receive.
You can check out any time you like, but you can never leave

Qu’est-ce que l’ETL ?

ETL partie 1

Je vais vous présenter ce mystérieux sigle qui tient autant du management que du datawarehouse
Déjà  la définition de l’ETL : Extraction Transport/Transform load
Ca signifie que vous allez extraire des données, les modifier, les transporter et les charger quelque part

Il faut voir cela dans le concept du datawarehouse par opposition à l’OLTP
OLTP : Online Transaction Processing, Les base de données relationnelles que l’on connait, comme oracle, SQL serveur, MySQL
DATAWAREHOUSE : Un « entrepot » de stockage de données, c’est une base de données où l’on va seulement faire de requêtes SELECT sur la base et non plus des UPDATE ou des DELETE.

L’extraction
Il y a deux types d’extraction : L’extraction logique et l’extraction physique.

L’extraction logique peut elle même se diviser en deux : L’extraction complète et l’extraction incrémentielle.
L’extraction complète comme son nom l’indique prend TOUTES les données et les extrait de la base, il n’y a pas besoin de suivi mais c’est celle qui prend le plus de temps.
l’extraction incrémentielle prends une partie des données modifées depuis une extraction complète, mais nécessite pour cela un suivi des modifications. Bien sûr le temps d’extraction est considérablement réduit.

L’extraction physique, elle, s’occupe de la façon dont sont extraites les données : online et offline.
L’extraction online va taper directement dans la base sans passer par des intermédiaires.
L’extraction offline elle va passer par ce que l’on appelle une « staging area », autrement dit aire d’attente. Cette staging area peut être composee de fichier plat (CSV par exemple), de fichier de dump ou bien de tablespace transportable (une spécificité d’oracle).

La transformation
C’est sans doute la partie la plus complexe du processus d’ETL.
Ca peut être une simple conversion ou une modification plus avancee.
il existe deux types de transformation : La « pipelined transformation » et la « multistage transformation »
La multistage transformation est composée d’étapes de transformation suivies d’injection dans des tables temporaires.
Par exemple : Chargement dans la table n° 1 –> validation des contraintes –> injection dans la table n°2 –>  modification des cles –> insertion dans la table n°3 –> Injection dans le datawarehouse

La pipeline transformation elle réalise toutes les étapes à  la suite.
L’avantage de la pipelined transformation est qu’elle prend moins de temps que la multistage mais que si l’on rate une des étapes, on doit recommencer le processus de zéro.

On peut donc générer des rapports avec cette étape.

Le chargement
Le chargement lui est l’étape finale de l’ETL.
Une fois les données modifiées et transportées, nous allons les charger à  nouveau dans le datawarehouse, afin de les conserver en l’état.

Sources : Mon cours de 5ème année d’oracle sur le datawarehousing

In memories…

Insane, je te connaissais peu, mais tu as toujours été de bonne humeur quand je disais des bêtises.
Tu m’as invité à  partager un verre, et faute de temps nous n’avons pas pu.
J’aurais souhaité qu’il en fut autrement.
Je suis encore sous le choc et les larmes quand j’écris ces mots.

Je laisse encore une fois les mots transpercer mon cœur,
Afin de laisser s’écouler la douleur.
Ta présence était un réconfort familier
Mais nous ne t’avons pas oublié.
Oui, les larmes éternelles de tristesse sont de retour,
Mais en cet étrange été, nous sommes pleins d’amour.
Pour toi, pour Nab, pour les gens que nous aimons.
Et tout ceux à  qui nous pensons
La vie disons-nous, est injuste,
Alors c’est à  nous et à  nous seuls de la rendre juste.
Prenons soin de ceux qui restent
Et racontons la vie de ceux qui sont partis.
Sans fioritures, ni fadaises.
Afin qu’ils continuent à vivre dans nos esprits
Et qu’ils y prennent leurs aises

Tu nous manqueras vieux brigand.

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