Terres dévastées

Catégorie : Poèmes Page 1 of 8

Darkness

Someone said that when you look at the darkness, darkness look back to you.

Last time I did that I finally found the darkness rolled like a ball, crying in the corner of the universe.

They were so sad, and I smiled at them.

They faint.

Love you darkness my old friend.

Hologramme

Le monde que j’ai construit s’effondre

Tout s’embrase, fond, se mêle dans un tourbillon

Carnaval inssaisissable de sentiments

L’angoisse m’étreint, mes démons tendent l’oreille

Le monde hurle, mon moi intérieur est déchiqueté

Il reprend forme peu à peu.

les rigoles sanglantes le parcours, un sifflement

Sans cesse revient heurter l’esprit.

les opposés s’attirent, mais les semblables aussi

Je ne veux pas faillir, je ne veux plus échouer

Car j’ai choisi la joie comme vengeance !

mon monde intérieur s’effondre sur lui même

pour un nouveau big bang, que va-til créer ?

Qui va en émerger ?

Fais ce que dois, mais protège les, même de toi

Mes démons sont à nouveau là,

Nous travaillons de concert

Une nouvelle lune noire va émerger.

Espérons ses boucliers plus puissants

Insécurités

La peur de l’abandon,

La peur de l’attachement

Deux êtres, des attirance multiples.

Qui suis-je pour te proposer ça ?

Quelque chose de vivant, plus je ne sais.

Vas-tu partir ?

Veux-tu rester ?

Je t’aime moi non plus.

Ce fut inattendu, plus encore que voulu.

Je te demande juste d’essayer, de ne pas fuir tout de suite.

Mais je ne te retiendrais pas contre ta volonté.

S’il te plaît.

Dureté

Souffre.

Souffre en silence.

La douleur est un indicateur.

Tu es en vie…Arrête de te plaindre.

Tout le monde s’en fout de ce qui t’arrive, de ce que tu ressens.

Et même si certaines personnes ne s’en moquent pas, ton ressenti n’a aucune importance.

Tu es poussière d’étoiles, perdue dans l’univers.

Tu vis ? Tu n’as aucune importance. Absolument aucune. Ton existence même est un accident.

Proteste tant que tu veux. C’est un fait.

Arrête de te plaindre.

Tu n’en as aucun droit.

Si tu commences à te plaindre alors laisse toi crever

Je te méprise de toute façon.

Tu as déjà goûté à l’acier, aux coups, aux regards des autres.

T’as survécu.

Tu survivra.

PS: pour les gens qui me trouvent dure.

Ce n’est qu’une petite partie de ce que je me dis à moi même devant le miroir. Vous me trouvez dure envers les autres ?

Vous n’avez aucune idée de comment je suis envers moi même 🔥

Je suis le feu des âmes

Je suis le feu des âmes

Ce feu inextinguible

Celui qui porte la passion

Je suis l’alpha et l’oméga

Je suis pures émotions

Je marche sur le fil de la réalité.

Toujours à lutter avec mes démons

D’un rire je peux être en larmes

J’en tremble juste en ressentant

Mais je ne peux jamais vous le montrer.

Jamais je ne suis moi-même

J’ai peur de vous faire partir

Mais je me sens seule même si j’ai envie de l’être

Je marche seule dans la foule

Toujours.

Je suis plus qu’animale et moins qu’humaine.

Je vous hais et je vous aime

Je ne vous le montre pas

Tout est question de volonté.

Un jour je partirais parce que je l’aurais désiré

À ce moment-là, je serais en paix

Troubles

Mes sens s’enflamment.

Je te vois.

Je te sens.

Tu me touches, tu me trouble

Tu me touches, tu m’enivres

Tes baisers, tes morsures

Du tungstène coule dans mes veines

Tu me touches , tu me trouble

Tu me touches, tu me grises

Tes mains sur mon corps

Tu me vois comme je suis

Tu me touches, tu me trouble

Tu me touches, tu m’embrase

Bouffées de chaleur

Je suis immobile comme une statue

Tu me touches, tu me trouble

Tu me touches, tu m’animes

Je me consume dans tes bras

Tu me torture si doucement

Tu me touches, tu me trouble

Tu me touches, tu m’incendie

Valse

 

On danse une valse binaire, un coup je t’aime, un coup je te laisse

Tu ne veux pas me faire mal, mais pour toi j’arracherais mon cœur et je te le présenterais à genoux

Vaincue à tes pieds, parce que je le désire, mon dernier souffle exhalé

On danse une valse binaire, un coup je t’aime, un coup je te hais

Je te regarde et baisse la tête, un sourire sur  mes lèvres s’est envolé

On danse une valse binaire, un coup je t’aime, un coup je te blesse

Aime moi / Blesse moi / Serre moi / Pleure moi

Mais ne m’ignore pas.

Illusions

Je marche dans l’obscurité de la nuit
Errante,

Les ombres se pressent autour de moi,
me blessant de leur proximité.

La bête se réveille doucement.
Mélancolie née du tourment.

Je marche seule et personne ne peux m’approcher.
Tous et toutes ont peur de moi.

Tout n’est qu’illusion,
Dans les jeux d’ombre de la vie.

Vous êtes déjà dans les limbes.

Tragédie ou comédie ?
Je ne saurais le dire.
Tout tourne, se mélange, entre en symbiose.
Douleur et plaisir mélangé.

Je n’aurais pas du plonger dans mon passé.
Il menace de me dévorer.

Petit à petit je me fond en la bête.
Tout redevient comme avant.

La roue tourne, et se repositionne.
Un cycle est en train de s’achever

Si vous ne m’aimez pas, alors craignez moi
Je dois tuer une nouvelle fois ce que je suis pour renaître.

Je risque de vous décevoir,
car vous ne me connaissez pas.
Mais gardez à l’esprit que je redeviens juste moi même.

Je te donnerais trois roses

Une rose rouge pour la passion, l’amour que j’éprouve pour toi

Une rose blanche pour la mort, un passage vers une nouvelle vie, avec ta rencontre

Une rose noire pour le déchirement que j’éprouve sans toi

Ton nom

J’écris ton nom sur mes lèvres.
Avec un fil et une aiguille,
Je le brode petit à petit.
Quelle douleur ?

Sans doute l’attente
La réponse se rapproche
Elle m’angoisse, mais n’est pas impossible à obtenir

Un « corps » non désiré, à modifier.
Plus harmonieux et complet.
Mais malgré tout,

J’écris ton nom sur mes lèvres,
Amertume

Page 1 of 8

Fièrement propulsé par WordPress & Thème par Anders Norén